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Ressources pédagogiques pour l'enseignement de la religion protestante au niveau secondaire
« Pixie » roman philosophique, éd. PU Laval
« Les compétences en éducation aux médias. Un enjeu éducatif majeur », FWB / CSEM, 2013, 40p.
« L’éducation aux médias en 10 questions », FWB, CSEM, 2012, 26p. (www.csem.be )
McLuhan M., « La galaxie Gutenberg. La genèse de l'homme typographique », éd. Gallimard, (1962) 1977, 2 tomes.
Nous sommes à un tournant de l'humanité. Selon McLuhan nous vivons au confluent de deux âges : l'âge visuel de l'écriture et de la typographie, qui pendant des siècles a modelé nos attitudes mentales, et l'âge de l'électricité caractérisée par la simultanéité et la forme orale de l'expression. Nous vivons un nouveau Moyen Age où sont remis en cause l'art, la religion, la philosophie, les structures politiques et économiques. McLuhan est considéré dans le monde entier comme un des prophètes de la civilisation à venir.
McLuhan M., « Pour comprendre les médias », Ed. Seuil, coll. Points, 1968, 404 p.
Le fait essentiel de la communication, c'est la communication elle-même et ses " média " (langage, argent, imprimé, mode, télévision ou cybernétique), plutôt que le message communiqué. Le " message ", c'est-à-dire le contenu de la communication, n'est qu'un leurre qui détourne l'attention pendant que le " médium " exerce une action d'autant plus profonde qu'elle nous échappe. Cet ouvrage analyse d'une façon intuitive et parfois familière la nature des technologies qui constituent notre " environnement " ; elles sont les prolongements de nos organes physiques et de notre système nerveux, destinés à en accroître la force et la rapidité.
McLuhan M., « Message et massage. un inventaire des effets», Ed Jean-Jacques Pauvert, 1968, 160 p.
McLuhan M., «The Global Village, Transformations in World Life and Media in the 21th Century» (œuvre posthume avec Bruce R. Powers), Oxford University Press, New-York, 1989, 222 p. Jamais traduit.
Marshall McLuhan's posthumous The Global Village, co-authored by Bruce Powers, explores the new "laws" of media, "laws" fostering a dramatic collision of viewpoints. The first based on Visual Space - the linear, quantitative mode of perception characteristic of the Western world is preserved by the medium of print. While the second, based on Acoustic Space - the holistic, qualitative reasoning of the East - is being fostered by television, the technologies of the data base, communication satallites, and the globalmedia network. McLuhan and Powers offer the `Tetrad' as a four part structure of analysis for relieving the outcome of this collision. By focusing on four questions - What does this new medium enhance? What does it render obsolete? What does it retrieve that was long ago pushed aside? And what does it produce or become when extended beyond the limits of its potential? - one can postulate the cultural life of an arifact in advance by showing how a total saturated use would produce a reversal of the original intent. For example, money converted into credit cards: the telephone to the omnipresence of teleconferencing; or the high-rise apartment building: enhancing privacy, rendering community obsolete, retrieving the catacombs, and reversing into a slum. McLuhan's insights, his aphorisms, and his legacy as "the man behind the message", make The Global Village excellent reading for anyone interested in the shaping power of communication technology.
PELLETIER Martine, «De la médianomie à l'autonomie, explorations éthiques et christologiques de la pensée de Marshall McLuhan» , 24 juin 2010
ATLAN M. et DROIT R-P, « Humain : Une enquête philosophique sur ces révolutions qui changent nos vies », éd. Flammarion, 2012, 560p.
L'impossible d'hier est-il devenu le possible d'aujourd'hui ? Produire des cellules artificielles, recomposer l'ADN, transformer nos cerveaux en machines artificielles, voir directement nos pensées sur un écran, réparer notre corps à l'infini grâce aux nanotechnologies jusqu'à repousser la maladie, la vieillesse, puis la mort... s'agit-il de science ou de fiction ? Comment penser ces mutations scientifiques associées à la révolution numérique, à la mondialisation, à l'écologie triomphante, à notre responsabilité planétaire ? Sommes-nous face à une prospective caricaturale ou à une étape nouvelle dans l'histoire de l'humanité ? Pour répondre à ces questions, Monique Atlan et Roger-Pol Droit ont entrepris un tour du monde scientifique dans les laboratoires des chercheurs les plus réputés. Du MIT au Collège de France, de Stanford à Saclay, de Harvard à l'École normale supérieure, à New York, Londres ou Hambourg, leur enquête sans équivalent fournit une boussole irremplaçable et accessible à tous pour identifier les carrefours de pensée et les choix qui nous attendent. Dans ce grand chantier du XXIe siècle, ils font dialoguer les disciplines et confrontent les points de vue pour renouveler cette question philosophique centrale : qu'est-ce que l'humain ? Monique Atlan et Roger-Pol Droit ont interrogé, aux quatre coins du monde, les personnalités suivantes : Jean Claude Ameisen, Henri Atlan, Marc Augé, Zygmunt Bauman, Jean-Michel Besnier, Gérard Berry, Rémi Brague, Michael Braungart, Monique Canto-Sperber, Manuel Castells, Moran Cerf, David Chalmers, Georges Church, Daniel Cohen, Antonio Damasio, Stanislas Dehaene, Philippe Descola, Freeman Dyson, Jean-Pierre Dupuy, Bernard Edelman, Alain Ehrenberg, René Frydman, Francis Fukuyama, Marcel Gauchet, André Green, Jürgen Habermas, Georges Hansel, François Hartog, Françoise Héritier, Jean-Claude Heudin, Christian Jambet, Sudhir Kakar, Étienne Klein, Julia Kristeva, Ray Kurzweil, Pierre-Marie Lledo, Douglas Melton, Jean-Claude Milner, Marvin Minsky, Nicholas Negroponte, Erik Orsenna, Corine Pelluchon, Isabelle Quéval, Joël de Rosnay, Amartya Sen, Richard Sennett, Peter Sloterdijk, Jean-Didier Vincent, Elie Wiesel et Francis Wolff.
PLATON, Phèdre. Suivi de La pharmacie de Platon, GF Flammarion, 2006, 418p.
Comment parler, pourquoi écrire ? Voilà de quoi discutent, en cette fin du Ve siècle avant J.-C., deux Athéniens étendus près d'un gattilier en fleur, à l'ombre d'un platane sous lequel coule une source, sur les bords de l'Ilissos, à quelques centaines de mètres de l'Acropole. Mais comment évoquer le pouvoir du discours sans parler de la réalité qui produit le discours et sur laquelle s'exerce son pouvoir, l'âme humaine, résidu de ce principe qui meut les corps célestes et même l'univers en son entier ? Le Phèdre est un des très grands dialogues de Platon il est à la fois extraordinairement divers dans son fond, puisqu'il y est question de la mort, de l'amour, de la rhétorique et de l'écriture, et dans sa forme car on y trouve dialogues, discours, descriptions, mythes et prières. L'art littéraire de Platon s'y développe remarquablement. Au texte présenté, traduit et annoté par Luc Brisson, cette édition joint " La pharmacie de Platon " de Jacques Derrida, le passionnant commentaire d'un des thèmes du Phèdre, l'origine et la valeur de l'écriture.
Le mythe de Theuth dans le Phèdre de Platon (Traduction de Mario Menier (1922) accessible sur le site : http://philoctetes.free.fr/platonph.htm )
J. Derrida, « La pharmacie de Platon », GF - Flammarion, 1989
BRAGUE Rémi, « En marge de « La pharmacie de Platon » de J. Derrida » dans « Revue Philosophique de Louvain » 1973, Vol. 71, n°10, pp. 271-277 (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/phlou_0035-3841_1973_num_71_10_5737 )
Geoffrey Bennington, « Le temps de la lecture » dans Études françaises, Volume 38, numéro 1-2, 2002, p. 77-85 (http://id.erudit.org/iderudit/008392ar )
«mémoire et habitude» et «parole et écrit» dans TOURNIER M., « Le miroir des idées », Folio / Mercure de France, 1996
PICHON Anne, « Apprendre à l’ère digitale » dans « Psychologie magazine », n°, sept. 2013, p. 94-98
KHAN S., « L’éducation réinventée. Une école grande comme le monde », éd. JC Lattès, 2013, 350p.
Salman Khan est en train de provoquer une véritable révolution dans le monde de l’enseignement. Inaugurée aux Etats-Unis, avec aujourd’hui plus de six millions d’étudiants par mois (une croissance de plus de 400% par an), des vidéos visionnées plus de 140 millions de fois et un demi-milliard d’exercices effectués grâce à notre logiciel, la Kahn Academy se propage à une vitesse prodigieuse au Brésil, au Mexique, en Afrique… Elle sera lancée en France cet automne, avec le soutien de la Fondation Orange. A l’ère du numérique, il est enfin possible de remettre en question des techniques d’enseignement mises en place en Prusse au XIXe siècle qui n’ont pas évolué depuis. De la simplification de fraction au calcul différentiel, de la chute de Rome à la révolution française, couvrant quasiment toutes les matières, Salman Khan a réalisé près de 4000 vidéos, accessibles gratuitement sur YouTube, de dix-huit minutes chacune – le temps optimal de concentration d’un jeune élève. Le principe est le suivant : chez lui, l’élève se repasse aussi souvent qu’il en a besoin la vidéo de son cours, et à l’école, le maître travaille les exercices et contrôle les connaissances. Le professeur est libéré des cours magistraux formatés pour permettre une réelle interaction au sein de la classe. Ce renversement total du système a déjà donné de formidables résultats dans les écoles qui le pratiquent. Contrairement aux craintes, la technologie peut humaniser les classes, valoriser les enseignants… et même améliorer leur rémunération ! Voici un manifeste pour un enseignement profondément réinventé.
SERRES Michel, «Petite Poucette», éd. LePommier, 2012,
Le monde a tellement changé que les jeunes doivent tout réinventer. Nos sociétés occidentales ont déjà vécu deux révolutions : le passage de l'oral à l'écrit, puis de l'écrit à l'imprimé. Comme chacune des précédentes, la troisième, tout aussi décisive, s'accompagne de mutations politiques, sociales et cognitives. Ce sont des périodes de crises. De l'essor des nouvelles technologies, un nouvel humain est né : Michel Serres le baptise «Petite Poucette» - clin d'oeil à la maestria avec laquelle les messages fusent de ses pouces. Petite Poucette va devoir réinventer une manière de vivre ensemble, des institutions, une manière d'être et de connaître... Débute une nouvelle ère qui verra la victoire de la multitude, anonyme, sur les élites dirigeantes, bien identifiées ; du savoir discuté sur les doctrines enseignées ; d'une société immatérielle librement connectée sur la société du spectacle à sens unique...
« Facebook : miroir de notre société ? dans « Philosophie magazine », n°15, déc. 2007
(http://www.philomag.com/lepoque/facebook-miroir-de-notre-identite-4306 )
« Cet objet vous veut-il du bien ?» dans « Philosophie magazine », n°73, oct. 2013, p.42-67
KAMBOUCHNER D., MEIRIEU Ph. STIEGLER B., «L'école, le numérique et la société qui vient», éd. Fayard / Mille et Une Nuits, 2012, 220p.
Que reste-t-il de la querelle scolaire et du vieux clivage entre « pédagogues » et « républicains » ? Partis de convictions très divergentes, Denis Kambouchner et Philippe Meirieu font aujourd'hui, avec Bernard Stiegler, le constat que les termes dans lesquels se posa cette querelle ont perdu de leur acuité dans le contexte de la vaste mutation engendrée par les nouvelles technologies. Ces nouvelles technologies créent les conditions d'une démocratisation inespérée de l'accès au savoir ; mais en même temps, associées à un consumérisme effréné et à un marketing intrusif, elles apparaissent comme les vecteurs d'un système toujours plus perfectionné de captation des esprits. Une telle évolution met à mal les équilibres fondamentaux de l'éducation scolaire. Surtout, l'école n'est pas armée pour penser cette mutation : ni pour remédier à ses effets les plus perturbants, ni pour s'assurer la maîtrise et l'usage effectif des potentialités qui lui sont liées. Il y a urgence. Plus que jamais les esprits ont besoin d’une solide formation du jugement, de méthodes et de repères que seule l’école peut, à l’échelle d’une société, enseigner. Au fil de leur conversation, les trois interlocuteurs s’entendent pleinement sur l’importance de réaffirmer une haute ambition pour l’école.
DEVAUCHELLE Bruno, «Comment le numérique transforme les lieux de savoirs : Le numérique au service du bien commun et de l'accès au savoir pour tous», FYP éditions, 2012, 191p.
Aujourd’hui, l’ensemble du monde pédagogique et des institutions du savoir est profondément déstabilisé par le numérique. Pour les écoles, cela bouleverse les méthodes de transmission des connaissances. Pour les bibliothèques, cela transforme radicalement le rôle du bibliothécaire. Enfin, pour les musées, cela oblige à passer d’un modèle de conservation à un modèle de partage et de diffusion. Pour tous ces acteurs, et pour nous tous, cela pose de nouvelles questions sur l’accès au
savoir dans notre société toujours plus numérique. Cet ouvrage, dresse un panorama complet et sans concession sur les mutations en court et propose aussi des pistes concrètes pour que le numérique soit au service des individus et du bien commun.
CARR Nicholas, « Internet rend-il bête ? : Réapprendre à lire et à penser dans un monde fragmenté », éd. R. Laffont, 2011, 312p.
C'est bien sûr à une révolution technique et informationnelle que nous assistons avec Internet. Mais c'est surtout à une révolution dans notre cerveau ! Vous aviez l'habitude de lire tranquillement et de façon linéaire un livre sur lequel vous portiez toute votre attention. Cela pouvait durer des heures pendant lesquelles vous, lecteurs, vous immergiez dans le monde singulier d'un auteur, en y mettant toute la concentration que vous désiriez. Regardez maintenant ce qui se passe quand vous vous connectez à Internet. Vous zappez de page en page par des liens qui vous promènent ici et là, et pendant ce temps vous êtes aussi bombardés de messages, parfois d'alertes vous informant qu'un mail vient de vous arriver ou qu'une nouvelle récente vient de mettre un blog ou un site Web (sur un flux RSS) à jour. Que se passe-t-il alors dans notre esprit ? En quoi cet environnement électronique change-t-il notre état mental, voire notre comportement social ? Ne serons-nous bientôt plus capables de nous concentrer plus de quelques minutes sur un texte ? N'allons-nous pas nous contenter de picorer ici et là quelques bribes (de textes, de vidéos, de messages audio) ? Notre cerveau, incroyablement plastique, s'adapte très vite aux nouvelles technologies et à leurs nouvelles tentations... Quels sont les avantages et les inconvénients de ces changements pour notre esprit ? Nicholas Carr pose ici une question fondamentale : quel monde nouveau l'Homo sapiens vient-il de se forger et y résistera-t-il ? Dans un détour historique passionnant, il nous rappelle que l'homme s'est constamment créé de nouvelles façons de penser. D'abord en inventant l'écriture (Sumer, les hiéroglyphes égyptiens, et le passage de la culture orale à l'écrit) puis en faisant évoluer la lecture (devenue silencieuse après des siècles où elle se fit à voix haute). L'imprimerie lui a fait accomplir un saut nouveau dans l'accès à la connaissance. Et jusqu'à très récemment, la capacité à se concentrer dans la lecture, pour tout apprentissage, a été au cœur de notre mode d'éducation. Que va-t-il se passer maintenant que des professeurs d'université - même en littérature - ne parviennent plus à faire lire leurs étudiants (Guerre et Paix, A la recherche du temps perdu, c'est bien trop long). Internet va-t-il nous rendre stupides, comme le laissent entendre certaines études scientifiques ? Elles montrent en effet que notre compréhension d'un texte est meilleure quand nous pouvons le lire posément, sans être incité par des liens divers (liens hypertexte) à l'approfondir d'une manière ou d'une autre (par telle ou telle vidéo ou interview complémentaire, tel autre texte explicatif, etc.) ! Comment les générations futures vont-elles penser ?
TISSERON S., « 3-6-9-12. Apprivoiser les écrans et grandir », éd. Erès, 2013, 180p.
En quelques années, les technologies numériques ont bouleversé notre vie publique, nos habitudes familiales et même notre intimité. Les parents et les pédagogues en sont souvent désorientés. La règle que j’ai appelée « 3-6-9-12 » donne quelques conseils simples articulés autour de quatre étapes essentielles de la vie des enfants : l’admission en maternelle, l’entrée au CP, la maîtrise de la lecture et de l’écriture, et le passage en collège. A nous d'inventer de nouveaux rituels.
ESTIENNE Françoise, MARCILHACY Charlotte (dir), « Apprendre à écrire aujourd'hui ? Les enjeux de l'écriture », Brx, éd. De Boeck, 2013, 240p.
Cet ouvrage part du constat, qu’à l’ère des technologies actuelles, l’écriture pose problème à de nombreux enfants entraînant des conséquences scolaires, psychologiques et sociales. La nécessité de son apprentissage est remise en question et fait l’objet d’enjeux. Dans cette optique, ce livre situe l’écriture dans un ensemble somato-psychique, scolaire et social, en insistant sur ses fondements et sur les approches thérapeutiques. La première partie retrace la genèse de l’écriture en partant du cerveau. La deuxième se penche sur l’écriture en souffrance, ce qui conduit à considérer l’écriture en tant que reflet de soi et outil thérapeutique. Ces derniers font l’objet de la troisième partie. Enfin, la dernière partie replace l’écriture dans un contexte scolaire et social. Fruit d’une synthèse de divers courants, cet ouvrage est une invitation à réfléchir sur les enjeux de l’écriture pour que les praticiens puissent donner un sens à leurs techniques en les plaçant dans une optique globale. Il s’adresse aux professionnels en remédiation de l’écriture, médecins, psychologues, logopèdes ou orthophonistes, psychomotriciens, pédagogues et enseignants.
Trainar Pierre, « La nouvelle culture ou le livre en question », BBF, 1982, n° 3, p. 131-144
[en ligne] <http://bbf.enssib.fr/>
Derouet, J-L. (1988). La profession enseignante comme montage composite : les enseignants face à un système de justification complexe. Éducation permanente, 96.
Duchâteau, C. (1992). L'ordinateur et l'école ! Un mariage difficile ?. Namur : CeFIS, Facultés N-D de la Paix.
Duchâteau, C. (1994b).Socrate au pays des ordinateurs. Bulletin trimestriel de l'EPI, 74, 159-177. Paris : Éditions de l'Epi.
ERTI, (1995). Une éducation européenne. Vers une société qui apprend. Bruxelles : The European Round Table of Industrialists.
Lafontaine, D., Grisay, A., et Orban, M. (1987). Enseignement et enseignants : mutations et perspectives à l'heure des nouvelles technologies. Liège : Laboratoire de Pédagogie Expérimentale, Université de Liège.
Meirieu, P. (1989). Enseigner, scénario pour un métier nouveau. Paris : Éditions ESF.
Mœglin, P. (2010). Les Industries éducatives. Paris : Puf, Que sais-je ?
AGAMBEN G., Qu'est-ce qu'un dispositif ?, éd. Rivage poche, 2007, 50p. (Petite Bibliothèque)
Les dispositifs où se jouent désormais nos existences - du téléphone portable à la télévision, de l'ordinateur à l'automobile - ne se trouvent pas face à l'homme comme de simples objets de consommation. Ils transforment nos personnalités. La question devient alors : quelle stratégie devons-nous adopter dans le corps à corps quotidien qui nous lie aux dispositifs ?
BOUGNOUX D., Sciences de l’information et de la communication, éd. Larousse, 1993, 810p. (Textes essentiels)
SANSOT Pierre, Le goût de la conversation, éd. DDB
L’écoute, éd. Autrement, sept. 1998 (Mutations, n°180)
La conversation, éd. Autrement, janv. 1999 (Mutations, n°182)
GUSDORF G., La parole, 3e éd., éd. PUF, (1952) 2013, 122p. (Quadrige)
ABEL O., La conversation, éd. Gallimard, 2006 64p., ill. (Chouette penser!)
SITES WEB
Conseil Supérieur de l’Education aux médias (CSEM) pour la FWB :
http://www.educationauxmedias.eu/
http://www.annoncerlacouleur.be
une vidéo présentant un changement de paradigme nécessaire (?) dans la pédagogie : http://www.youtube.com/watch?v=e1LRrVYb8IE&feature=player_embedded
Nouvelles technologies de l’information et des communication - digital natives - internet - média
comment enseigner dans, avec et par ces nouvelles conditions ?
Citation de Marshall McLuhan, « Le message, c'est le médium »
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